Catégories
Non classé

La vie… Un éternel et perpétuel recommencement.

Point final. Il y a quelques jours, au moment de tourner la page de ce 6ème et dernier chapitre, je m’interrogeais en refermant ce nouveau livre de ma vie sur son titre. Expérience inaboutie ? Le grand gâchis ? Fauché en plein vol ? et si tout simplement j’optais pour « Le cordonnier est toujours le plus mal chaussé » ? A l’instar de la dernière offre que je proposais à l’international pour un éditeur logiciel, tout s’imbrique. J’avais pris le temps de réaliser la cartographie des risques avant de me lancer dans cette nouvelle aventure : Paris, ESN, Feuille Blanche, objectifs très ambitieux… famille, finance, activités… avais-je associé un plan de contrôle assez pertinent ? N’aurais-je pas dû suivre certains indicateurs avec plus de permanence ? Ce qui est sûr, c’est que demain un audit, plus exactement des audits seront nécessaires. Pourquoi ? question centrale, réponses multiples. Colère, Déceptions, Confirmation, …, Introspection, transparence, objectivité, analyse des termes « obligatoires » à utiliser durant cette démarche afin d’adapter le plan de continuité d’activité. Prendre le temps, reculer peut-être, piétiner surement, tourner en rond jamais mais avancer toujours.

Faire de son mieux, faire ce que l’on veut vraiment et non s’imposer de faire… et non être obligé de faire… D’aucuns me rétorqueront, souvent à juste titre, « facile à dire », ou « théorie ! » ou pour les plus pessimistes « babillages !». Eloignons-nous des stéréotypes. J’ai tiré de mes multiples lectures cette certitude que c’est nous qui décidons si nous le voulons. Nous sommes notre meilleur ami mais aussi notre meilleur ennemi. Tout dépend de nous ! Pourquoi se faire souffrir gratuitement ?

« J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé » disait Voltaire. Alors pourquoi être passif face à une situation ? Inéluctablement, je pense et repense à ce merveilleux film Invictus de Clint Eastwood où Morgan Freeman déclame « Je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme » extrait du célèbre poème de William Ernest Henley. A l’instar du monde professionnel, transformation est le mot clé, aussi nécessaire qu’indispensable pour rester au gout du jour. Se changer ? Non. Evoluer, s’adapter au temps présent, vivre avec son temps et avant toute chose penser à soi, se considérer en premier quel que soit le contexte. Avoir confiance, oser et avancer.

La vraie et seule vie, c’est l’instant présent. Ce n’est pas pour autant qu’il faut faire n’importe quoi, tout oublier, tout nier ou croire que tout est simple. Certes nous vivons dans le monde de l’image où tout doit aller vite, où tout est éphémère… Que laisserons-nous à nos enfants ? C’est précisément le concept que je souhaite aborder aujourd’hui : la transmission. A l’instar de la transformation, elle est essentielle. Transmettre des valeurs, pilier et fondation de base d’un être. Transmettre des théories, des croyances pour réfléchir et forger sa propre opinion. Transmettre de la ferveur, de l’envie pour croire en soi, etc… Laisser une trace écrite est indispensable. Vivre au présent en s’appuyant sur le passé afin de léguer une richesse inestimable à nos descendants. La valeur infinie d’une correspondance familiale, des écrits des philosophes des lumières, de la Bible ! Que serait-on sans eux ? Beau sujet de réflexion ! En cadeau un conseil de lecture: L’appartement du dessous de Florence Herrlemann chez Albin Michel La transmission, sujet de ce roman épistolaire passionnant.

Alors, si vous avez eu la patience de me suivre jusqu’ici, vous êtes surement curieux de savoir… A propos de mon prochain opus ? J’ai le choix entre plusieurs thèmes, les idées ne manquent pas.

« Je ne perds jamais. Dans la vie, je gagne ou j’apprends ». N. Mandela en serait l’épigraphe.

Sa livraison? Work in progress…

 

1 réponse sur « La vie… Un éternel et perpétuel recommencement. »

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *